Qui aurait dit qu’on en arriverait là ? : on a dénombré moins de cas actifs de COVID-19 à Saint-Jérôme qu’à Sainte-Sophie la semaine dernière.
Dans les faits, le nombre de cas actifs a été de sept à Sainte-Sophie et de six à Saint-Jérôme, selon ce que révèle le plus récent relevé publié par le CISSS des Laurentides en date de jeudi dernier (25 juin).
Qui plus est, c’est à Saint-Eustache qu’on retrouvait le plus de cas actifs dans les Laurentides en date de jeudi dernier avec un total de huit. Sainte-Thérèse suit Sainte-Sophie et Saint-Jérôme avec cinq cas actifs.
Dans les autres villes populeuses des Basses-Laurentides, on en retrouve entre un et quatre cas (selon la classification donnée par le CISSS des Laurentides quand on affiche moins de cinq cas) à Blainville, Boisbriand et Mirabel.
Plus de 2 000 d’écart
Par ailleurs, la MRC Thérèse-de Blainville qui dominait depuis quelques semaines a cédé le premier rang à la MRC de la Rivière-du-Nord qui en affichait 17 contre neuf pour celle plus au sud.
La MRC de Deux-Montagnes en a cumulé 10. La MRC de Mirabel (une ville, une MRC) vient ensuite avec moins de quatre cas.
Au cumulatif depuis le début de la pandémie, la capitale des Laurentides en était jeudi dernier à 2 964, soit cinq de plus que le jeudi précédent.
Suivent Blainville avec 2 247 cas, Mirabel avec 2 023, Saint-Eustache avec 1 884, Sainte-Thérèse avec 1 224 et Boisbriand à 1 181.
La MRC Thérèse-de Blainville est toujours au premier rang avec 6 676 cas cumulés ; soit plus de 2 000 cas d’écart avec la MRC de la Rivière-du-Nord à 4 650. La MRC de Deux-Montagnes (3 655) et la MRC de Mirabel (2 023) suivent dans l’ordre.
Rivière-du-Nord 
Comme nous le soulignions plus haut, Saint-Jérôme se retrouve au deuxième rang (selon le tableau du CISSS des Laurentides) en termes de cas actifs derrière Sainte-Sophie (559 cas au cumulatif).
Les deux accaparent donc 13 des 17 cas de la MRC de la Rivière-du-Nord, laissant à Prévost (351) et Saint-Colomban (541) les quatre cas restants, puisque Saint-Hippolyte (235) n’en affichait aucun, jeudi dernier, pour une troisième semaine consécutive.
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Les négociations entre le Gouvernement Legault et l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) semblent dans une impasse.
Les membres de l’APTS dans les Laurentides avaient tenu lundi et mardi dernier (21 et 22 juin) deux journées de grève générale « afin d’infléchir la position intransigeante du gouvernement Legault face au personnel du réseau de la santé et des services sociaux ».
Ainsi, des professionnel(le)s et technicien(ne)s du CISSS des Laurentides ont maintenu des piquets de grève les deux jours, alors qu’un grand rassemblement s’est tenu à la vieille gare de Saint-Jérôme le mardi. Près de 1 000 personnes étaient attendues pour marcher, par la suite, dans le centre-ville de Saint-Jérôme.
L’APTS représente 3 800 membres dans les Laurentides.
Rejet des offres
Les actions de la semaine dernière n’ont, de toute évidence, pas eu les effets escomptés, puisque, les négociations de la fin de semaine entre les parties n’ont pas permis d’en venir à une entente.
« L’offre globale du gouvernement a été rejetée par notre comité national de négociations. La conclusion de tout cela, c’est qu’on n’a pas encore d’entente de principe.(Les membres du) conseil national (30 délégués) ont rejeté(la proposition) à la majorité et doivent la présenter au conseil général qui représente 300 délégués. Si le conseil général la rejette aussi, ça n’ira même pas auprès de nos membres »indique ChantalDaoust, présidente de l’exécutif local APTS des Laurentides, lundi, au cours d’une conversation téléphonique avec le Journal Infos Laurentides.
Quant à savoir quand la proposition patronale serait présentée aux membres du conseil général, Mme Daoust explique qu’en principe ce serait dans les prochaines semaines, « mais c’est clair qu’on va mettre de la pression pour que ce soit dans les prochains jours. On ne veut pas laisser traîner ça ».
Fierté
Par ailleurs, au moment d’adresser la parole aux membres présents sur place de la gare le 22 juin dernier, Chantal Daoust a incité ces derniers à afficher leur fierté.
« Le réseau de la santé, c’est un tout. Sans nous, il manque un morceau. On a du guts, on a du courage et on est fiers de nos professions. Soyons fiers de nous! »de déclarer Mme Daoust à cette occasion.
En outre, au cours de son allocution, la présidente Daoust a dit déplorer que le Gouvernement Legault « n’en n’a que pour les infirmières, les médecins et les préposés aux bénéficiaires ».
Elle a précisé sa pensée, lundi matin au cours de la conversation téléphonique avec le Journal.
« Le gouvernement a réglé avec les infirmières, dont je ne connais pas les conditions(accordées) et avec les préposés aux bénéficiaires qui ont eu des bonnes augmentations de salaire parce que ce sont des groupes qui ont vraiment eu la faveur du public pendant la pandémie. Nous on mentionne que(par exemple), les technologues en radiologie qui font des examens de poumon, s’il n’y avait pas eu ça, il n’y aurait pas eu de tests COVID.  C’est dur d’aller en chercher pour chaque groupe, parce qu’on a 110 types d’emploi à représenter ».
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Des négociations difficiles avec le gouvernement: « On est fiers de nos professions » -Chantal Daoust

Vision Saint-Jérôme a dévoilé dimanche en fin d’après-midi, les six nouveaux visages qui en seront à leur première expérience dans l’arène politique municipale en vue de l’élection du 7 novembre prochain.
Ces nouveaux candidats viennent joindre les cinq conseillers-sortants qui ont décidé de solliciter un renouvellement de mandat. On parle ici deMylène Laframboise (district 2), François Poirier (district 3), Erik Bak (district 4), Benoît Delage (district 6) et Chantale Lambert (district 7).
Au sujet du groupe, Janice Bélair-Rolland, candidate à la mairie, souligne qu’« alliant expérience et renouveau notre équipe est fière de mettre la parité et l’implication des femmes au cœur de son action politique. Je sais qu’avec le travail des hommes et des femmes qui forment notre équipe, nous saurons répondre aux attentes des citoyens ».
Nouveaux candidats
Quant aux nouveaux candidats, on parle de : 
-Élisabeth Alarie (district 1), unefemme d’affaire de 39 ans et mère d’un enfant d’un an, dont les parents parents Jacinthe Plouffe et Sylvain Alarie sont propriétaires du golf Saint-Jérôme.
« Je suis une fille d’action et de résultats. Pour moi, l’impressionnant bilan du parti Vision Saint-Jérôme symbolise la réussite. C’est avec enthousiasme que j’ai accepté l’invitation à me joindre à l’équipe de Janice Bélair-Rolland, une femme d’affaire, une mère et une politicienne que j’admire ».
-Amélie Diotte (district 5) qui, après avoir opéréle restaurant Le Royal et le service de traiteur Le Buffet du Domaine, a décidé de réorienter sa carrière en devenant sage-femme.
« Je connais Janice Bélair-Rolland depuis ses débuts en politique en 2015 comme candidate aux élections fédérales. En tant que mère de quatre enfants, je suis convaincue qu’il est temps qu’une femme dirige les destinées de notre ville ». 
-Alexandre Paradis (district 8),président-fondateur du festival Nord de Rire, depuis le début de la pandémie, il a choisi de s’investir comme agent d’intervention auprès des gens en difficultés, dans le milieu hospitalier.
« C’est la création de la place des festivités du centre-ville pouvant accueillir plus de 10 000 personnes, qui m’a convaincu que Vision Saint-Jérôme était le parti avec qui j’ai le goût de m’investir. Ça a donc été une décision facile de dire oui à l’invitation de la candidate à la mairie Janice Bélair-Rolland ». 
-Kim Quintal (district 10), conseillère corporative, services aux entreprises pour le groupe Énergie Cardio.
 « Je suis heureuse de faire partie d’une équipe pour qui la santé des citoyens et les espaces verts sont aussi considérés. Avec la création du parc naturel du Lac Jérôme et sa popularité croissante, il est clair que nous avons su répondre aux désirs des citoyens ».
&#8211;Richard Vermette(district 11),impliqué pendant de nombreuses années avec les Panthères de Saint-Jérôme, il a œuvré pendant 30 ans à l’Académie Lafontaine.
 « La liste des infrastructures mises en place par le parti Vision Saint-Jérôme dans les dernières années est impressionnante. Notre ville avait un besoin urgent de ce rattrapage. On pense à l’aréna régional, l’institut régional des sports, le théâtre Gilles Vigneault, le nouvel écocentre, le nouvel hôtel de ville, le tout nouveau parc de planche à roulettes, le complexe multisports présentement en construction et j’en passe».
-Kathrine Boyer (district 12), directrice générale adjointe pour une des résidences du réseau Sélection Retraite.
« Les plus récents états financiers rendus publics démontrent hors de tout doute, la saine gestion des finances dans notre ville, que ce soit les investissements records, la baisse de la dette ou les surplus records de 17 millions annoncés en juin dernier. On peut affirmer qu’avec Vision Saint-Jérôme les finances publiques sont entre bonnes mains ».
Quant à la candidature dans le district 9, les instances de Vision Saint-Jérôme nous disent qu’elle sera annoncée d’ici un certain temps.
 
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Cas actifs de COVID-19 : Sainte-Sophie devance Saint-Jérôme