Le litige entre Saint-Jérôme et les quatre autres municipalités constituantes de la MRC de la Rivière-du-Nord relativement à la facture à assumer pour le train de banlieue demeure entier.
Si bien que la semaine dernière, lors de leur assemblée publique respective, les quatre municipalités ont passé une résolution visant à confier à la firme d’avocats Cain Lamarre le mandat de les représenter dans le dossier.
Surfacturation ?
Une partie du conflit tourne autour du fait que les autorités de Prévost, Sainte-Sophie, Saint-Colomban et Saint-Hippolyte évaluent avoir été surfacturées par Saint-Jérôme (via la MRC) pour les années 2018-2019-2020. Elles considèrent que celles (les autorités) de Saint-Jérôme ont réclamé davantage que les dépenses d’opération du train de banlieue, comme c’était prévu au départ.
On parlerait de 2,5 M$ pour les années précitées.
Elles dénoncent que Saint-Jérôme leur a refilé une partie de la facture pour le métro et pour sa participationà l’Autorité régionale de transport métropolitain, alors que la facture aurait dû se limiter au frais d’opération (comme c’était convenu en 2002, au moment de l’entente relative aux équipements supralocaux ).
Commission municipale
Il y a quelques mois, les quatre avaient demandé à la Commission municipale du Québec d’intervenir dans le litige avec Saint-Jérôme.
Elle reviennent à la charge dans leur demande.
MOTS-CLÉS
MRC de la Rivière-du-Nord
Train de banlieue